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Complètement mytho: dieux et déesses de la mythologie

Résumé
30 entrées pour présenter les plus grandes figures de la mythologie gréco-romaine avec, pour chacune d'elles, une illustration emblématique de la divinité, un bref récit sous forme d'interview, etc.

Pas disponible en CD.

Lu par : Collectif
Durée: 7h. 6min.
Édition: Paris, Le Livre de poche jeunesse, 2013
Numéro du livre: 28945
ISBN: 9782013237840
Collection(s): Le livre de poche. Jeunesse. Classique

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Résumé:Nous savons tous qu'une vie sans amour est une vie désolée, une vie à laquelle il manque l'essentiel. Mais savons-nous ce qu'est l'amour en vérité ? Savons-nous le comment et le pourquoi de l'amour ? Pourquoi nous nous égarons si souvent et pourquoi nous le restreignons ? Pourquoi il nous arrive si rarement d'aimer vraiment et d'être aimé ? Ces questions ne cessent de se poser à nous d'une façon lancinante, souvent douloureuse. Fabrice Midal tente d'y répondre à partir de la tradition philosophique occidentale et des sagesses orientales. Il nous entraîne à la découverte des différentes facettes de l'amour et en explore les vertiges, en mettant à mal nombre d'idées reçues. Chaque individu est vraiment capable d'aimer, malgré les obstacles apparemment insurmontables. Nous sommes les victimes d'une suite d'extraordinaires contresens dont il est urgent de nous délivrer. Retrouver un chemin dans l'amour, reconnaître le point tendre du coeur, accepter nos imperfections et en faire autant de chances pour nous ouvrir réellement, telle est l'invitation de ce livre, qui nous aide à entrer dans l'immensité de l'amour.
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Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
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Résumé:Nous sommes aujourd'hui, face à notre avenir incertain, comme nos ancêtres qui craignaient de ne plus voir le soleil. La réponse à cette peur qui parfois nous agite réside dans les contes et leur sagesse immémoriale. Eux seuls savent transformer les menaces en miracles. Mais encore faut-il les écouter. Fais comme moi, disent ces simples récits. Ne sois rien qu'une conscience éveillée, capable de capter tout ce qui peut la nourrir. La grosse patte du lion ne peut capturer le papillon. Face à la mort, aux pouvoirs, à tout ce qui enferme, sclérose ou pétrifie, sois un papillon. Schéhérazade invente et dit des contes pour tenir la mort à distance. Et la vie prend le dessus. Ainsi les contes ont traversé les pestes, les guerres ou les révolutions. De page en page, Henri Gougaud les interroge et ils lui répondent : Imite-moi et tu survivras. N'aie pas peur de te transformer sans cesse. À la fois drôle et apaisant, ce récit singulier, truffé d'histoires, est un vrai livre de sagesse.
Lu par : Catherine Garcia
Durée : 6h. 3min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 21877
Résumé:Notre expérience s'est pensée, en Europe, à partir d'une séparation de plans : vital/moral/spirituel ; même ce verbe le plus élémentaire, " nourrir ", a été pris dans la scission du concret et du symbolique : nourrir son corps ou nourrir son âme (dans Platon et les Pères de l'Eglise). Or, en suivant cette expression commune en Chine de " nourrir la vie ", nous voici conduits à remonter à l'inséparation de ces plans ; comme, en lisant le grand penseur de l'Antiquité chinoise, Zhuangzi, à creuser l'écart avec l'idéal grec de la connaissance ainsi qu'avec l'idée du bonheur, conçu comme finalité. Le Sage est sans destination et même sans aspiration ; il " évolue " dans le tao, est-il dit, " tel le poisson dans l'eau "... Certains de nos partis pris les plus massifs s'en voient ébranlés, et d'abord ceux de l'" âme " et du " corps " : si nourrir sa vie peut se dire de façon unitaire, c'est d'abord qu'on nourrit le plus foncièrement en soi le " souffle-énergie ". Se profile alors une autre intelligibilité - à dégager du mysticisme suspect dans lequel les marchands du " développement personnel " voudraient aujourd'hui nous plonger. Ou de ce que le zen est plus intelligent que ce que nos panneaux publicitaires en ont fait.
Durée : 6h. 56min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 25524
Résumé:Il y a cinq ans, le cardinal et Olivier Le Gendre commençaient une discussion d'une étonnante franchise sur l'Église, son fonctionnement et ses principales prises de position jusqu'à la disparition de Jean-Paul II et l'élection dans un climat de panique de son successeur. Ces entretiens ont donné lieu à un ouvrage, Confession d'un cardinal, qui a suscité d'intenses débats dans la communauté catholique. Ces entretiens ont repris début 2010, mais le climat a changé : Olivier Le Gendre a frôlé la mort à cause d'une grave maladie et le cardinal s'est plongé encore davantage dans le monde des plus défavorisés. Leur ton est donc plus profond, plus spirituel. Peut-on encore avoir confiance dans le message de l'Église ? Ne s'est-il pas trop dénaturé pour avoir la capacité de revenir aux principes premiers des Évangiles et du Christ : attention aux plus démunis, humilité, charité... Le pouvoir de l'Église ne s'est il pas sclérosé à cause d'une hiérarchie vieillotte et accrochée à ses privilèges ? Benoît XVI est-il bien entouré ou, d'une façon plus générale, l'organisation de l'Église est-elle encore adaptée au monde actuel ? Faut-il donner plus d'autonomie aux églises locales ? Y a-t-il encore de l'espérance ?... Olivier Le Gendre doute, le cardinal est lucide : « Nous sommes dans une Église étrange, capable souvent du meilleur et nous laissant parfois surpendre par le pire.» Au cours de leur dialogue tout aussi passionné que calme, ce sont toutes les problématiques les plus profondes qu'ils exposent sans jamais fermer les yeux.
Lu par : Janine Brenier
Durée : 3h. 12min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 23751
Résumé:"Partir, dit-on, c'est mourir un peu. Mais partir d'où, pour aller où, et qu'entend-on par "mourir un peu" ? Comment le verbe mourir peut-il s'accommoder d'un adverbe de quantité alors qu'il désigne un événement à chaque fois unique, définitif, absolument inquantifiable ? Il en est du verbe mourir comme du verbe aimer : leur adjoindre un adverbe de quantité, d'intensité ou de manière revient à en moduler le sens de façon radicale, l'air de rien. "Il m'aime / Elle m'aime / Je t'aime un peu, beaucoup, passionnément, à la folie... Pas du tout", scandent les amoureux sur un ton enjoué en effeuillant des marguerites. Mais la désinvolture n'est qu'un masque, le jeu s'avère bien plus sérieux qu'il n'y paraît car l'enjeu est extrême en vérité - il en va présentement, ardemment de l'amour. On risque son cœur, sa joie, son plus vif espoir. L’amour, la mort : on ne badine ni avec l'un ni avec l'autre. Effeuiller le verbe mourir ainsi qu'une fleur des champs c'est mettre à nu son propre cœur, ses pensées, son espérance." Dans ce nouveau livre, Sylvie Germain traque la dynamique de la quête spirituelle à travers le thème des pas, de l'arrachement de la mort à nous-mêmes, avec l'écriture vive et inspirée qu'on lui connaît.